La Côte d’Ivoire toujours dans la zone de turbulence, de grosses menaces planent sur le pays
4 mai 2018Notre pays n’est pas à l’abri des rapaces, des charognards de touts acabits. Le pays fait peur. Après la naissance de la troisième république par césarienne, il ne se passe pas de jours sans que le pouvoir soit victime de menace.
Les factures d’après guerre sont salées et le Président Alassane n’a pas fini de les éponger tellement la liste est interminable. Des soldats au nombre de 1200 résident dans le Gbêkê se disent oublier dans le partage du butin. Ils l’ont signé dans un communiqué qui circule sur la toile. L’Etat major des armées ne sait pas fait prier pour prendre la menace au sérieux. Car ces militaires dans leur communiqué avaient indiqué qu’ils allaient descendre sur Abidjan.
Pour ce faire l’état d’urgence a été lancé par le Cema( Chef d’Etat Major) pour parer à toutes éventualités. Si ceux qui détiennent les armes ne sont pas contents ne sont pas content, qu’adviendra des civiles ? C’est pourquoi l’Etat doit tôt mettre en œuvre pour les protéger. C’est quelle guerre qui ne finit pas ! Les Ivoiriens sont fatigués. Mais avec tous ses bruits de bottes, il semble qu’ils ne sont pas u bout du rouleau. Avec cette cerise sur le gâteau avec cette autre rumeur qui fait état de ce que Soro Guillaume le président de l’Assemblée nationale et le Wattao un chef de guerre bien connu et commandant de la garde républicaine veulent ‘’assassiner’ le ministre de la défense Hamed Bakayoko, il y’a de quoi à s’inquiéter.
Cet adage qui dit que la rébellion mange ses enfants’’ est plus que jamais plausible en Côte d4Ivoire. La liste des enfants tués est longue. Sur cette liste macabre se trouvent les noms tels que Kass, Chef Adams, Ib etc.. La dernière personne citée a été affreusement tué à Ayama dans la commune d’Abidjan par les hommes de Wattao. La suspicion s’est installée au cœur du pouvoir et la population civile craint pour sa survie. A quand une paix définitive en Côte D’Ivoire ?
JC DELI