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Cpi : réouverture du procès de la honte, la défense continue de pilonner les mensonges du Procureur Mac Do

Cpi : réouverture du procès de la honte, la défense continue de pilonner les mensonges du Procureur Mac Do

13 novembre 2018 0 Par Jean Claude Deli

Nous sommes ce mardi 13 novembre 2018, et la défense avec la jeune avocate Jennifer N. continue de démanteler les mensonges du de l’accusation avec des preuves tangibles à l’appui.

Elle a commencé a démontré que les vidéos utilisées qui proviennent de Youtube sont des vidéos manipulables. Le Procureur nous demande de procédé par devinette. Des vidés qui n’ont aucune authenticité. Mais en ce qui concerne l’attaque des civils à Abobo. Pour elle ses attaqués n’ont été effectuées le 3 mars 2011 mais le 7 janvier 2011.

Avec une étude comparative elle montre que les deux vidéos ne montre que lorsque les chars passaient, il y’a eu des tirs. Pour l’avocate s’est après leur passage qu’on a entendu des tirs. L’avocat de la défense à montrer que lorsque le chars des Fds passaient, il n’y avait aucun signe de passage au sein de la population. Pourtant si le char ouvrait le feu sur des civils, on allait voir des corps jonchés le sol . Ce qui n’est pas le cas. Aussi elle a démontré que les corps ont été apportés là, après le passage du convoi. Et que cela ne s’est pas fait le même jour.

En ce qui concerne le corps de quatre femmes, elle a indiqué les tests Adn étaient appropriés pour pouvoir connaitre l’identité des victimes  mais le procureur a feint de l’ignoré. En plus ces corps ont été extraits d’une fosse qui contenait 500 corps. Comment savoir que c’était des femmes ?

S’agissant de l’utilisation des mortiers de 120 mm Jennifer  s’est référé aux dires du chef d’Etat major Phillip Mangou à la barre que les mortiers sont été utilisés une seule fois et retiré pour ne pas que cela tombe aux mains de l’ennemi. Donc rien ne prouve que les tirs des mortiers de 120 mm viennent du camp commando d’Abobo. Ce tir pourrait être tiré de n’importe où dans un rayon de 6 kms proche du marché de Siaka Koné. Un obus aurait pu être tiré de n’importe où dans ce cercle.

Affaire à suive …

Koudou Jean